Test DJI Osmo Action 5

La GoPro semble intouchable depuis des années ? Alors l'un de ses rivaux, DJI, lance l'Osmo Action 5 Pro, de forme cubique comme sa concurrente californienne. Cinquième représentante de la marque, l'Osmo Action tente de jouer la carte du "pro" (toutes proportions gardées) sachant que la Pocket 3, aussi au catalogue, innove davantage dans son concept (caméra et stabilisateur mécanique intégré) mais concède moins d'usages (pas de fonds sous-marins avec la Pocket 3 ni de faculté d'être fixée sur tous supports).

Proposée en 2 packs distincts, Standard et Adventure, le prix de cette version 5 a baissé de 429 euros à 379 euros (soit 50€ de moins) pour le pack Standard, après avoir toutefois augmenté de 70€ entre l'Osmo 3 et 4. Pour sa part, le second pack nommé Adventure se décroche à 479 euros (il était à 529€ avec l’Osmo Action 4). Par rapport à la version 13 de GoPro (à 449 euros), la DJI vaut 70€ de moins (dans l'absolu).

Quels sont les points forts de l'Osmo Action 5 Pro ?

-une autonomie de batterie de 4 heures,

-un écran tactile amélioré : il est désormais plus grand, surtout à l'arrière,

-une plage dynamique de 13,5 stops avec un capteur 1/1,3 pouce de nouvelle génération,

-un mode Photo de 40 Mpx (contre 10 Mpx sur l'Action 4),

-une fonctionnalité intégrée de centrage et de suivi du sujet, et une fonction SuperNight,

-un espace de stockage interne (47 Go) en plus du logement pour carte mémoire,

-et enfin, une plongée sans caisson par -20 mètres.

Autres fonctionnalités de l'Action 5 Pro :

On dispose :

- d'un débit optimisé (en H265) pour alléger les fichiers,

- d'un transfert haute vitesse jusqu’à 80 Mo/s via Wi-Fi 6.0 ou USB 3.0 ,

- de la diffusion en direct via Wi-Fi avec la prise en charge de plusieurs résolutions,

- du timecode qui permet de synchroniser rapidement les séquences de plusieurs caméras,

- d'un pré-enregistrement qui démarre quelques instants avant le début de l’enregistrement réel,

- de la fonction "mise en évidence" qui permet de marquer rapidement les moments-clés afin d’accélérer le processus de montage,

Enfin, l’Osmo Action 5 Pro peut évidemment être reliée à l’excellente application DJI Mimo via la liaison Wi-Fi et Bluetooth,

Comme sur les modèles précédents, la caméra sait enregistrer des vidéos 4K-2,7K, 1080p jusqu'au 120p, des photos, des ralentis (sans audio) ou encore des time-lapses / hyperlapses. La stabilisation (nommée RockSteady) est de mise avec des variantes.

La caméra résiste aussi aux accidents (chutes) d'une hauteur de 1,5 mètres grâce à la conception d'un verre Gorilla Glass de Corning et une protection d’objectif en caoutchouc.

L'Osmo Action 5 Pro est toujours aussi légère. Elle égale quasiment le poids de l'Osmo Action 4 avec 146 grammes sur la balance, et des dimensions quasi identiques (70,5 x 44,2 x 32,8 mm). Comme annoncé, l'écran est plus grand, mais pas le boîtier, c'est donc assez remarquable.

Réseaux sociaux obligent, DJI est capable en natif de prendre des vues horizontales comme verticales (d'un simple retournement à 90° du boîtier), ce qui est bien pratique.

Côté affichage, on récupère le principe des deux écrans des Osmo Action 3 et 4, tous deux tactiles. C'est un principe d'affichage qu'on retrouve aussi sur la GoPro depuis la Hero10. On accède aux mêmes paramétrages qu'on soit devant ou derrière la caméra, c'est donc très pratique.

Nouveauté de taille (c'est le cas de le dire !) : l'écran tactile de l'Osmo est désormais plus grand, à l'avant comme à l'arrière et sa fabrication est en verre trempé. Mais surtout l'écran augmente sa taille SANS ACCROITRE celle de l'Actioncam, ce qui fait que le rapport écran/corps a augmenté de 16 % par rapport à l'Osmo Action 4.

L'écran revendique par ailleurs une luminosité de 1000 nits.

L'écran principal, arrière, passe à 2,5 pouces au lieu de 2,25 pouces sur l'Osmo Action 4. Il est en 16:9, est tactile, et lumineux (800 nits avec une luminosité de crête de 1 000 nits). Sa résolution est de 284.800 pixels.

L'écran avant est au format carré et passe à 1,46 pouces. C'est un chouia plus grand que l'Osmo Action 4 (1,4'') et la résolution passe à 116.998 pixels, avec une luminosité Luminosité identique de 800 nits.

Une précision : les deux écrans sont activables en même temps mais quand on utilise l'écran arrière, l'écran avant est verrouillé, et vice versa. C'est une mesure de protection.

Depuis l'écran principal, d'un mouvement de glissement du doigt en horizontal ou en vertical, on accède aux modes, paramètres image, paramètres généraux. En cliquant sur l’icône qui lui correspond, on accède aussi aux réglages, au mode Lecture ou encore au Zoom.

 

MODES D'ENREGISTREMENT

Sur un plan général, l'Osmo Action 5 enregistre comme avec l'Action 4 en 4K 16:9, 4K 4:3, 2,7K 16:9, 2,7K 4:3, ou 1080p, des résolutions très identiques à GoPro. Le 50 / 60p est bien sûr possible en 4K, jusqu'au 100 / 120p comme chez GoPro.

La DJI n'alterne plus entre le H264 et le HEVC / H265 selon les résolutions / fréquences choisies. Le HEVC est seul en course désormais, ce qui simplifie les choses d'une certaine façon. La compression moindre du H265 explique d'ailleurs peut-être que le débit est plus raisonnable, limité désormais à 100 Mbps contre 100 à 130 Mbps auparavant.

Déjà capable d'enregistrer en 4K/60 ips, l'Osmo Action 5 peut capturer en Normal 8 bits, Normal 10 bits, HLG ou D-Log M 10 bits, et filmer des vidéos à haute dynamique sans surexposer les hautes lumières. En contrepartie, la caméra sait aussi filmer dans l'obscurité grâce à son mode SuperNight bénéficiant d'algorithmes de réduction de bruit générés par IA.

Ce mode SuperNight est tout bêtement un mode Programme qui permet d'atteindre une limite Iso de 51200 alors que le mode Normal ne dépasse pas 25600 Iso.

Le Ralenti, disponible il faut le souligner, dans toute les résolutions, 4K compris, reste d'une qualité étonnante pour une si petite caméra. Il n'est pas réglable mais est capable de délivrer des vues en x4 ou x8. Bravo ! L'absence de stabilisation durant le Ralenti est un faux problème attendu qu'un ralenti stabilise l'image.

Le Ralenti atteint 4x (120p) en 4K ou 2,7K et 4x (120p) ou 8x (240p) en 1080p.

 

ETANCHEITE

Imitant sa rivale GoPro, l'Osmo Action 5 pro déploie un indice d’étanchéité IP68 et est capable de plonger à -20 mètres sans caisson additionnel, soit le double de la GoPro Hero 13 Black. On remarquera que cette profondeur de 20 mètres n'est pas anodine puisqu'elle dépasse la profondeur nécessaire pour l'obtention du premier certificat PADI de plongée (18 mètres).

Même si l'argument est critiquable, la performance est à saluer. De plus, la caméra peut être réglée pour démarrer l’enregistrement automatiquement lorsqu’elle est immergée et s’arrêter quand le plongeur refait surface. Ça c'est assez malin ! Enfin, côté sécurité, l'Actioncam intègre un manomètre (!) pour enregistrer les données de profondeur, de durée et d’altitude sous l’eau. C'est activable / désactivable dans le Menu.

Toutefois, et c'est pourquoi l'argument est un peu ambigu, DJI déconseille une utilisation prolongée sous l'eau sans caisson, et recommande plutôt le caisson dans ce cas.

Les plongeurs qualifiés peuvent tabler sur le boîtier étanche DJI (en option, environ 59 euros), et se la "couler douce" jusqu'à 60 mètres ! Les grosses commandes extérieures permettent d'enregistrer ou d'activer le On / Off / Modes. Le caisson pèse 140 grammes.

Un autre point fort est un héritage direct de la technologie DJI déjà en place sur ses drones : le centrage et le suivi du sujet. L’Osmo Action 5 Pro devient ainsi la première caméra d’action à offrir un tel centrage et suivi du sujet.

 

ESPACE DE STOCKAGE

Autre aspect nouveau et non des moindres, inconnu jusqu'alors chez GoPro comme sur les caméras DJI, la mise à disposition d'un espace de stockage interne de 48 Go en sus de l'enregistrement sur carte mémoire. Cet ajout est précieux quand on se retrouve pris au dépourvu d'un manque d'espace ou qu'on a oublié d'insérer une carte (cela m'est déjà arrivé et sans doute pas qu'à moi !) ou tout simplement qu'on souhaite davantage d'espace de stockage. Un tel stockage interne peut aussi s'avérer plus sécurisant qu'une carte mémoire qui peut être victime d'un pépin.

On peut sauver jusqu'à 5 modes personnalisés qui combinent vos préférences de résolution, angle, ratio, fréquence, et même profil couleurs et mode de stabilisation. Ces personnalisations évitent ainsi de re-programmer ses paramètre ou d'avoir à s'en souvenir, c'est très pratique ! Petit changement astucieux, au lieu d'être mémorisés sous un nom impersonnel (C1, C2, C3...), les modes enregistrés par l'utilisateur adoptent un nom plus évocateur (par exemple "SLO") ou carrément un type d'activité (ski, randonnée, plongée...), ce qui permet de les identifier bien plus facilement. Une fois enregistrés, ces modes s'ajoutent en premier à la liste de base des modes.

La caméra reste très proche de l'Osmo 4 avec un unique bouton d'enregistrement sur le dessus, un haut-parleur et un bouton On / Off / changement de Modes sur le côté. Celui-ci est toujours aussi peu souple et nécessite une pression accentuée pour allumer ou éteindre la caméra, sans doute pour éviter des allumages inopinés. Mais parfois, caméra éteinte, on pense avoir déchargé la batterie tant ce bouton est dur à la réaction !

Initié depuis l'Action2, un support magnétique très sécurisé vient se fixer sur la base de l'actioncam. Ainsi, on peut fixer la caméra sur un guidon de vélo, ou un casque puis changer d'accessoire très rapidement.

Ce système aimanté est suffisamment solide pour supporter des pressions élevées. Il faudrait un très gros choc pour que la caméra se déclipse. Seul regret, cet aimant est indispensable pour fixer la caméra sur quoi que ce soit.

Côté stabilisation, l’Osmo Action 5 s’appuie toujours sur plusieurs modes de stabilisation électronique :

La stabilisation de base est électronique, c'est le fameux RockSteady (3.0, inchangé). Ce mode élimine le bougé caméra mais sans corriger la caméra si elle penche vers la gauche / droite. Cela convient à de nombreuses situations. Le RockSteady prend en charge les résolutions / fréquences jusqu’au 4K/120 ips. C'est le mode de stabilisation le plus efficace. En 16/9, on perd environ 10% d'image.

Les Osmo 3 et 4 offraient déjà l'option "RockSteady+" qu'on retrouve ici. Le RockSteady+ accroît la stabilité moyennant un recadrage plus marqué qu'on peut estimer à au moins 20% (DJI ne précise pas le pourcentage).

Étrangement, DJI propose aussi un "scénario" de stabilisation, selon que vous filmez une action quotidienne (par exemple la marche) ou "Sport". J'avoue avoir du mal à voir la différence et même l'utilité attendu qu'il y a déjà 2 modes RockSteady.

L'Osmo 5 propose aussi le mode HorizonBalancing : c'est une sorte de RockSteady qui en 4K comme en 2,7K, corrige en plus l’inclinaison horizontalement sur ± 45°. Mais il en résulte un très fort recadrage.

Signalons que si le stabilisateur est sur Off, on bénéficie de l'angle de champ maximum puisque le mode Off est sans recadrage. Parfois, ce mode s'active automatiquement si on choisit une résolution / fréquence qui a pour propriété de désactiver le stabilisateur.

Retenez aussi qu'en 2,7K et 1080p, un autre mode, le mode HorizonSteady, corrige à 360° et aide ainsi à éliminer le bougé caméra dans toutes les directions et ce, quel que soit l’angle. HorizonSteady implique donc lui aussi un fort recadrage !

La perche télescopique de la version Adventure mesure 1,5 mètre et se plie / déplie très facilement et reste légère. En plus, repliée, elle ne fait que 23 cm, c'est court. L'attache de la caméra est facilitée par la base aimantée qui se fixe sur l'embout à l'extrémité de la perche, le tout serré par une simple vis de serrage. L'inclinaison de la caméra reste selon votre envie.

Notez que la fonction InvisiStick permet de masquer numériquement la perche à selfie. Elle est accessible depuis l'application DJI Mimo.

 

COMMANDE VOCALE

La commande vocale, déjà présente depuis l'Osmo Action3, s'inspire de celle des GoPro se limite à 4 commandes vocales seulement : "start recording", "stop recording", "take photo" et "shutdown" (éteindre). Toutefois ce sont les commandes principales dont on a le plus besoin. L’allumage direct de la caméra à la voix n'est pas présent sans doute car le procédé est trop consommateur de batteries, la caméra restant en semi-veille. Mais compte tenu que la batterie de l’Osmo 5 est très puissante, DJI aurait peut-être pu envisager cette possibilité, éventuellement en option des autres commandes vocales.

Spécificité du système DJI, on n'est pas contraint de répéter "DJI" à chaque commande (cas chez GoPro). La reconnaissance (en anglais ou mandarin !) est globalement bonne à condition de bien prononcer, notre accent français de "Shut Down" par exemple ne passe toujours pas très bien :).

L'enregistrement s'effectue via le déclencheur situé au-dessus ou par commande vocale. On sait qu'on enregistre grâce à deux diodes clignotantes, l'une à l'avant, l'autre à l'arrière, et accessoirement, grâce au compteur rouge qui défile en haut à gauche. Mais ce dernier ne se voit pas forcément très distinctement.

 

QUALITE IMAGE

La qualité d'image de l'Osmo Action 5 est toujours aussi piquée (*), très comparable à celle de la GoPro Hero12 (et probablement Hero13), et tout à fait probante pour des besoins sportifs ou classiques, du moins quand la quantité de lumière est suffisante. Notez tout de même que l'automatisme a tendance à surexposer l'image par temps trop ensoleillé.

Le changement de capteur avait eu lieu sur l'Osmo 4 (CMOS 1/3 pouce). Le capteur s'enrichit un peu en pixels sur l'Osmo 5 Pro mais cela profite surtout aux photos. De plus, DJI améliore son capteur pour la photo mais ne change pas d'optique (avec la même ouverture à f/2.8).

Dès qu'il s'agit de vues nocturnes, ou intérieur nuit, l’Osmo Action 5 est avantagée par son capteur plus grand (que la GoPro), ce qui a pour incidence que l'image est moins détériorée.

D'autre part, on dispose d'un Réducteur de bruit - paramétrable sur 3 positions - Élevé, Moyen, Faible - qui permet donc de réduire le bruit. La sensibilité me semble constante avec l'Osmo Action 5 par rapport à l'Osmo 4, et sans atteindre la qualité de la Pocket 3... de DJI.

Toutefois, sur le plan des chiffres, l'Osmo Action 5 Pro revendique une sensibilité plus grande puisque sa plage, changement de capteur aidant, s'étend en photo de 100 à 25600 Iso tandis que celle de l'Osmo 4 indiquait 12800 Iso. De même, pour la vidéo, la sensibilité est portée à 51200 Iso alors que celle de l'Osmo 4 plafonnait à 12800 Iso.

 

MODE PRO

On notera la présence d'un mode Pro désactivable (déjà existant sur l'Osmo 4), aussi bien en photo qu'en vidéo. Par exemple, dans le mode PRO, des paramètres sont disponibles comme l'Exposition, la FOV, la Balance des blancs, le réglage des paramètres audio ou le mode Couleur.

Fonction moins cruciale mais utile, l'Osmo Action 5 bénéficie du mode Timelapse pré-réglable en fonction de scènes-type : foules, nuages, coucher de soleil... Notez qu'en mode Timelapse ou Hyperlapse, seuls les angles Large ou Standard (Dewarp) sont disponibles, l’ultra-large n'existe pas.

Chaque fichier vidéo indique le poids du fichier, la résolution / fréquence, ou la date et l'heure de prise de vues. Par contre, on ignore la focale employée, le stabilisateur utilisé, ou encore le Style (D-Log M...) auquel on a eu recours. Cela permettrait pourtant de se souvenir de ses réglages pour les réutiliser.

 

AUDIO

Côté audio, le haut parleur est l'orifice le plus visible au sommet. Hormis ce point, trois micros sont répartis en bas, de part et d'autre du logo "Action 5" et sur le dessous pour un micro dédié au coupe-vent. Le micro avant répond à la logique du Vlog et d'un audio directionnel "avant". Mais DJI ne propose pas, comme chez GoPro, de différencier l'avant de l'arrière, voire de cumuler les deux.

A signaler aussi : l'Osmo Action 5 Pro et jusqu'à 2 émetteurs DJI Mic 2 ou DJI Mic Mini peuvent fonctionner de concert via liaison Bluetooth (TX1, TX2). Du coup, l'utilisateur peut se dispenser du récepteur. C'est assez pratique.

On note la compatibilité de l'Action 5 Pro avec les micros HF DJI (comme le DJI Mic 2 ou le récent DJI Mic Mini ) via le connecteur Type-C et des micros externes via un câble de 3,5 mm vers USB-C.

 

CONNEXIONS, Wi-FI

Enfin, l'utilisateur dispose de trois types de connexion :

1) l'USB-C qui sert à décharger ses rushes ou à recharger sur ordinateur. Personnellement, je préfère décharger sur ordinateur plutôt que d'extraire la carte mémoire. D'ailleurs parfois mon logiciel a du mal à la reconnaître lorsque je l'insère dans un adaptateur.

2) une liaison OTG via le câble USB-C, ce qui facilite beaucoup le transfert vers un appareil Android.

3) connexion en tant que Webcam en branchant le port USB-C de la caméra à un ordinateur et en récupérant le signal par exemple depuis une application comme VLC (Ouvrir un périphérique de capture puis Osmo5) ou QuickTime. Cette fonction Webcam est compatible Windows ou Mac et fonctionne très bien, j'ai pu la tester ! La qualité d'image est généralement supérieure à celle d'une Webcam classique.

On ne présente sans doute plus l'application DJI Mimo qui offre tous les paramétrages dont on dispose sur la caméra plus quelques autres. DJI Mimo possède aussi une section d'édition des scènes. DJI se fait cette fois très discret sur LightCut qui permet de se connecter à la caméra via Wi-Fi.

Depuis cette même application DJI Mimo, la diffusion en direct est également au programme comme chez GoPro. Les paramètres essentiels à une bonne diffusion sont tous réunis.